Re: Projet de formation
Publié : dim. 03 sept. 2017, 12:29
Bonjour et bienvenue en Alsace.
Pour répondre à votre question, je dirais qu'à titre personnel, chacun est bien entendu libre de faire ce qu'il veut de son temps libre.
Là où évidemment il peut y avoir problème, c'est quand quelqu'un utilise la renommée ou les ressources d'une association à des fins personnelles, que se soit pour se faire mousser ou pour se faire du fric.
Dans le premier cas, le risque est de donner du crédit à des gens qui n'en ont pas, et qui salissent la réputation d'une association, bâtie sur des années d'existence et d'expérience. Il faut bien comprendre que le libre, dans sa philosophie, vient à contre-courant des marchands de tapis qui ont l'habitude de rouler le client dans la farine, avec le sourire colgate en prime. Forcément, ces gens là ne nous veulent pas que du bien, surtout que le libre transmet souvent une conscience démocratique que certains s'acharnent aujourd'hui à voir disparaître, en plus d'un savoir technique. C'est une des raisons pour laquelle nous refusons les personnes morales qui voudraient à l'association sur le nom de leur entreprise à Murbach.
Dans le second cas, la question est beaucoup plus épineuse. Chacune des trois associations libristes du Haut-Rhin à sa manière de fonctionner propre. Je sais que certains proposent des cours payants à leurs membres dans le cadre de leurs activités. Pour le reste, une association reste avant tout basée sur le bénévolat de ses membres, et ce n'est pas une entreprise : elle n'a pas à générer des profits. Si un membre d'une association décide ensuite de donner des cours payants à des tiers, c'est son droit et c'est son problème, MAIS il le fait à titre strictement personnel, et en aucun cas au nom de l'association s'il n'a pas été clairement mandaté pour par le bureau.
Ça paraît du bon sens, mais il est toujours bon de rappeler ces différences fondamentales entre monde associatif et monde professionnel.
Pour répondre à votre question, je dirais qu'à titre personnel, chacun est bien entendu libre de faire ce qu'il veut de son temps libre.
Là où évidemment il peut y avoir problème, c'est quand quelqu'un utilise la renommée ou les ressources d'une association à des fins personnelles, que se soit pour se faire mousser ou pour se faire du fric.
Dans le premier cas, le risque est de donner du crédit à des gens qui n'en ont pas, et qui salissent la réputation d'une association, bâtie sur des années d'existence et d'expérience. Il faut bien comprendre que le libre, dans sa philosophie, vient à contre-courant des marchands de tapis qui ont l'habitude de rouler le client dans la farine, avec le sourire colgate en prime. Forcément, ces gens là ne nous veulent pas que du bien, surtout que le libre transmet souvent une conscience démocratique que certains s'acharnent aujourd'hui à voir disparaître, en plus d'un savoir technique. C'est une des raisons pour laquelle nous refusons les personnes morales qui voudraient à l'association sur le nom de leur entreprise à Murbach.
Dans le second cas, la question est beaucoup plus épineuse. Chacune des trois associations libristes du Haut-Rhin à sa manière de fonctionner propre. Je sais que certains proposent des cours payants à leurs membres dans le cadre de leurs activités. Pour le reste, une association reste avant tout basée sur le bénévolat de ses membres, et ce n'est pas une entreprise : elle n'a pas à générer des profits. Si un membre d'une association décide ensuite de donner des cours payants à des tiers, c'est son droit et c'est son problème, MAIS il le fait à titre strictement personnel, et en aucun cas au nom de l'association s'il n'a pas été clairement mandaté pour par le bureau.
Ça paraît du bon sens, mais il est toujours bon de rappeler ces différences fondamentales entre monde associatif et monde professionnel.